vendredi 5 avril 2013

E comme... Encore des données à vérifier

100 fois sur le métier remettre son ouvrage, ce n'est pas une vaine idée pour le généalogiste, car en matière d'histoire, je pense qu'il ne peut jamais y avoir de certitudes ! Et la généalogiste par internet doit forcer le curieux à garder son esprit critique. Si l'outil permet de mieux organiser et partager ses informations, il donne aussi du fil à retordre. En effet, si je trouve dans les données d'un autre généalogiste des noms et des dates qui m'intéressent, je dois toujours vérifier ce qui est exposé. Le moyen que j'emploie le plus couramment est de recouper par les documents que je trouve en ligne, faute d'être sur place. Si j'habitais plus près de mes origines, je consignerais tout pour aller vérifier aux archives les registres concernés. Mais je suis à plus de 250 km de ces documents, alors je compense comme je peux.
Aujourd'hui, je suis frustrée, car j'ai toute une branche à vérifier, mais je ne le peux pas (ou pas encore). 
Je vous raconte ?
Le grand-père GAGNEUX de Zéna avait une grand-mère : Jeanne GEORGET. Jeanne a épousé Louis GAGNEUX à Chaumussay le 8 janvier 1793. Cette information m'est confirmée par les tables décennales, sur le site internet des Archives d'Indre-et-Loire. Elle serait née à Barrou, le 14 octobre 1771, mais ça, je ne l'ai pas encore vérifié. Grâce à la toile et au partage des généalogistes, j'ai collecté 6 générations de porteurs du nom GEORGET avant Jeanne, mais comme ils étaient tous tourangeaux, je ne peux pas vraiment vérifier que cette branche est correctement retranscrite. Enfin si ! Si je me déplace à Tours ou Chambray-lès-Tours !
Pour le moment, il ne m'est permis que de voyager par mon imagination le long de leur parcours de vie en passant par Barrou, Chambon, Chaumussay, Le Grand-Pressigny... Et nous serions sûrement au bout des vérifications possibles, puisque nous arriverions à une naissance dans les années 1530 !

Qu'est-ce que ce Défi de A à Z ? Voir ici !

5 commentaires:

Anonyme a dit…

G comme gastronomie poitevine
et comme grenettes ou grenons
nommés également "asperges du pauvre " ce sont les pousses de choux ( de bruxelles ou "à vaches")on les fait bouillir (rapidement) et on les mange tièdes avec une vinaigrette à l'huile de noix et vinaigre de vin, mon mari fait un repas de roi lorsqu'on lui sert des grenettes, puis des mojettes avec du boudin grillé ,
bon appétit
colette

Léti a dit…

J'ignorais les grenettes mais les mogettes sont de ma culture, avec du gigot, voire écrasées à l'huile de noix. D'ailleurs cette huile... J'ai eu la chance d'y goûter bien jeune puisque mes grands-parents avaient des noyers. Pour mouiller les asperges locales, les mogettes, la salade... J'en salive de nostalgie !

Léti a dit…

pour la suite, j'ai déjà rédigé les articles F et G. Il me manque encore les lettres H à L.

Léti a dit…

Merci Colette pour ton courrier, reçu hier, mais je n'ai pas encore tout compris ! :-)

Anonyme a dit…

tu peux demander, je peux répondre
bonne nuit
colette