lundi 13 mai 2013

W comme... Waou ! J'arrive au bout !

Je ne vous cache pas mon essoufflement, 26 sujets, c'est long. Et puis il faut encore que la rédaction soit faite correctement, que je jongle avec le quotidien (j'ai un mari formidable ! derrière chaque généalogiste se cache-t-il un conjoint encore plus patient ? on pourra y réfléchir pour le prochain défi tiens...), que le sujet puisse être intéressant, mais je ne me décourage pas. Je sais que j'arrive au bout de l'alphabet. Pour tout vous avouer, je viens de rédiger le sujet du Y pour demain, donc il me reste à faire le W et le Z !

W comme... Wagons

Pour ma branche maternelle, je ne peux pas nier que j'ai reçu un sacré coup de main concernant l'ascendance de ma grand-mère. J'ai reçu de Colette, sa cousine, une aide certaine, et tellement dense que je n'ai toujours pas fini mes recoupements depuis plusieurs années ! Disons que je suis têtue et que je ne peux pas garder des données non vérifiées dans mon arbre, donc peu à peu, je recoupe chaque information. Ce n'est pas de la défiance, c'est juste que chaque lecture d'acte peut apporter des compléments. Parfois, c'est même en relisant un acte qu'on débloque une branche. Bon sang mais c'est bien sûr !
Pourquoi je vous parle de wagons ? Parce que des données non vérifiées, j'en ai des wagons entiers ! Mais je me soigne. Il faut dire que la gentille Colette m'envoie de temps en temps une nouvelle charge... Tout en continuant via ses commentaires avisés à aiguiller ma quête ! Même quand celle-ci ne concerne pas notre branche commune. 

Voilà Colette, je profite de ce billet-prétexte pour te remercier devant tous aujourd'hui. Nous n'avons pas les mêmes techniques de recherches, mais ce n'est pas un handicap, au contraire ! Tu as commencé bien avant moi, "en vrai", en registre et en kilomètres, alors que moi je suis de la génération des généalogistes numériques. Même si j'ai connu la frustration des données inaccessibles dans mon jeune temps. Et puis nous avons établi le contact. 
Que ce blog en soit témoin, nos interrogations partagées ont fait avancer le schmilblick sur la branche Millet, mais il nous reste encore fort à faire ! Et puis il y a encore ces actes notariés que tu m'as copiés et envoyés à exploiter. L'été filera pour moi à vive allure, mais les soirées d'hiver seront bien occupées, entre deux escales par d'autres patronymes. 

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Merci, ma grande, pour tes commentaires généreux, ils me donnent envie de continuer à titiller ta curiosité en reprenantl' article consacré aux laboureurs, nous avons eu dans nos ancêtres communs un certain Chataignier, laboureur de son état, père de famille nombreuse, fort soucieux d'équité et j'ai retrouvé des actes notariés établissant les dépenses faites pour les études de l'un de ses fils devenu prêtre, ceci afin de doner la même somme à chacun de ses autres enfants, je peux t'envoyer la photocopie des documents concernant cette famille, même si je ne peux pas te faire parvenir la lettre de l'un de ses parents qui demandait au comité révolutionnaire la remise des biens de son oncle saisis par les sans culottes . Trêve de bavardages, bonne nuit, ma grande et bises à ton gentil mari et à minette n°1

Léti a dit…

Ah ah ! Du grain à moudre ! Chic ! ;-)
Bises à ton gentil mari et à toi-même